Your browser does not support JavaScript!

Repérer l'essentiel de l'information • Chercher le sens de l'événement • Comprendre l'évolution de la Chine

›› Société

Faut-il prévoir un boom de la natalité dans les villes, vers 2010 ?

L’Institut de recherche sur la Population de Pékin a fait un sondage auprès de 1.300 couples pékinois, âgés de 20 à 34 ans et « enfants uniques », sur leur intention d’avoir un deuxième enfant comme la loi les y autorise.
Presque 36% des répondants ont déclaré vouloir deux enfants, un pourcentage beaucoup plus élevé, semble-t-il, qu’il y a quatre ans.
60% en revanche ont souhaité un seul enfant ou pas du tout, alors qu’il remplissent les conditions pour être parents de deux.
Pékin aurait, à l’heure actuelle deux millions “d’enfants uniques”, pour la plupart nés à partir de 1980. Il y aurait 78.000 naissances par an dans la capitale.
Selon le responsable de ce sondage, un chercheur associé de l’Institut de la Population et de l’Economie du travail de l’Académie de Sciences sociales, l’autorisation d’un deuxième enfant chez les couples d’enfants uniques pourrait provoquer un “pic” de 140.000 naissances à Pékin dès 2010. On s’attendait jusque là à une progression plus lente (pic en 2015) et moins marquée.
Extrapolé à l’ensemble des villes chinoises, le résultat de ce sondage laisserait prévoir un boom de la natalité vers 2010.


• Commenter cet article

Modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Ce formulaire accepte les raccourcis SPIP [->url] {{gras}} {italique} <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

• À lire dans la même rubrique

Orage nationaliste sur les réseaux sociaux

Réseaux sociaux : La classe moyenne, l’appareil, les secousses boursières et la défiance

L’obsession des jeux d’argent et les proverbes chinois

Les tribulations immobilières de Liang Liang et Li Jun

Au fil des réseaux sociaux, les faces cachées des funérailles de Li Keqiang