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Plagiat technologique de CHEN Jin : toute la presse en parle

L’affaire CHEN Jin -inventeur du soi-disant premier microprocesseur entièrement chinois, dénoncé ces derniers jours- montre bien que la copie et les contrefaçons ne sont pas seulement des questions de culture, chinoise ou occidentale, mais beaucoup plus des méthodes frauduleuses pour gagner rapidement de l’argent ou de la notoriété.
Agé de 35 ans, diplômé de l’université Jiaotong de Shanghai et d’une université américaine, ce brillant chercheur avait su obtenir, après son retour en Chine, tous les moyens universitaires et d’Etat pour rattraper rapidement le retard chinois dans le domaine clé des microprocesseurs. Hélas, il le fit en trompant tout le monde et en plagiant une “puce” de Motorola.
Dénoncé par des collègues, CHEN Jin a aujourd’hui tout perdu. Et l’innovation en Chine dans ce domaine vient de subir un échec fâcheux. Elle s’en remettra, mais il faudra peut-être revoir l’organisation bureaucratique de la recherche et promouvoir la conscience professionnelle chez les chercheurs scientifiques les plus avancés.


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