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Nouvelles des éditions du « Non Agir. » Par Alexis Brossollet

L’horizon sanitaire s’éclaircissant un tant soit peu et les vacances prenant fin, il est temps de s’intéresser aux choses de l’esprit : en l’occurrence des nouvelles de mes activités littéraires.

J’ai eu la chance de traduire cette année un roman taïwanais pour la Série Noire de Gallimard : consécration pour un traducteur qui s’y est mis sur le tard ! Le Sniper, son wok et son fusil est sorti le 9 septembre et parle, comme son titre l’indique, de bons repas et d’assassinats.

Voici le résumé de l’éditeur :

« À Taïwan, le superintendant Wu doute du suicide d’un officier du Bureau des commandes et acquisitions de l’armée. Un deuxième cadavre d’officier, rejeté par la mer sur la plage des Perles de sable, renforce son intuition. À Rome, le tireur d’élite Ai Li, dit Alex, s’apprête à dégommer un conseiller en stratégie du président taïwanais sur ordre des services secrets.

Mais au dernier moment, tout capote et, menacé, il s’enfuit à travers l’Europe. De retour à Taipei, Alex croise le chemin de Wu, qui, aidé par son fils hacker en herbe, persiste à enquêter malgré les ordres venus d’en haut.

Apparemment, tous deux ont la même personne pour cible… Sous le signe du riz sauté, la spécialité d’Alex quand il n’est pas en mission, un thriller à cent à l’heure, plein d’humour et gourmand. »

Une autre critique : Sniper made in Taïwan

« Rien à voir avec le film de Clint Eastwood, American Sniper. Poète, linguiste et expert en armes, le romancier Chang Kuo-Li tire juste avec son nouvel ouvrage. Un polar qui change de nos lectures habituelles et qui n’est pas dénué d’humour. » (…)

« Deux “héros“ qui finiront bien par se croiser, c’est le fil conducteur de ce roman policier plutôt réussi, Le sniper, son wok et son fusil. Quand il ne cuisine pas à la perfection du riz sauté dans un petit village italien, Ai Li, dit Alex, assassine sur commande à Rome un conseiller en stratégie du président tawaïnais. Mais de chasseur, il devient la cible d’autres tueurs, formés à la même école. Très vite, il comprend qu’il devra trouver à la source qui tire les ficelles. »

« A Taïwan justement, le superintendant Wu compte à la fois les jours jusqu’à sa retraite et les cadavres, des officiers de l’armée. Un tatouage va l’amener vers une organisation ancestrale et vers notre sniper en cavale.

Une intrigue plutôt originale, un savoir-faire indéniable et une sacrée dose d’humour, le polar de Chang Kuo-Li a une saveur asiatique, particulièrement gouteuse. Il change agréablement des productions américaines, françaises ou scandinaves. On vous le recommande, laissez-vous tenter ! »

J.-M.R.


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